Bye bye la fraîch'attitude, vive la Goosto Attitude !
De retour de vacances... mais pour un nouveau job !
Le billet est ici, pensez à changer vos liens vers Ester Kitchen...
De retour de vacances... mais pour un nouveau job !
Le billet est ici, pensez à changer vos liens vers Ester Kitchen...
Une saga bretonne sur Ester Kitchen : ça commence aujourd'hui et pour une fois, ce n'est pas trop bavard.
A vous de juger sur pièce juste ici !
Où et quand, dans tous les cas avec Pascale et Anne, tout le détail ici !
Alors, les fashion victim, ça se passe ici !
Découvrez la recette du banana cake de Rose Bakery sur mon nouveau blog.
Vous avez envie de savoir ?
La réponse ici sur le nouveau blog.
Envie de gaufres lilloises ?
Ca se passe par là, à la nouvelle adresse de ce blog !
Ca y est, Ester Kitchen a déménagé !
Venez le visiter ici... et à très bientôt !
Assaillie sous une montagne de boulot ? Un peu...
Occupée à déménager ce blog ? Eh oui !
Et mouliner tous les messages, et tous vos commentaires depuis août 2004, ne se fait pas en un jour (avouons-le : comme d'hab', j'exploite le talent de Bricol'Boy). Canalblog, je t'aimais bien, mais c'est bientôt la fin, merci pour tout...
Donc, je ne vous ai pas oublié, mais occupée à repeindre les murs du nouveau blog, dont vous aurez bientôt l'adresse !
Celle que j'envie, c'est Déborah, notre amie des Agapes, qui elle, est sortie de son déménagement bien plus physique que le mien.
L'heureuse nouvelle propriétaire de la Librairie Gourmande vous accueille à partir de ce jour au 90 rue Montmartre. Dur dur de quitter le quartier Latin, mais perso, je bats des mains : à un jet de tablette de Valhrona et une poignée (de casserole) de Simon, Dehillerin, and co. C'est aussi bien plus proche de chez moi, ce qui est risqué pour le porte-monnaie.
Bonne chance à Déborah et à son équipe, vive les déménagements... et à bientôt sur un nouvel Esterkitchen tout beau tout neuf !!!
Horreur. Malheur. Parisianisme.
J'ai dû traverser la Seine pour des besoins professionnels. Pour la bonne cause, même, le café et le champagne sont bons au Sénat. J'avais heureusement ciré mes chaussures. C'est fou ce qu'on a besoin de se remettre après avoir rencontré des cuisiniers qui connaissent par coeur le PH10 et se font faire leurs moules sur mesure. Ca calme.
Perdue à Saint-Germain-des-Prés (quartier que j'abhorre, je m'y sens toujours trop grosse, moche et pauvre par rapport à toutes les jeunes femmes que je croise, l'impression d'être une extra-terrestre sur cette rive tellement chic et intello...), j'ai donc dû me remettre en passant vite fait chez Pierre Hermé déguster quelques macarons (me faisant griller dans la file par Gilbert Melki qui a demandé "vite, une tarte au citron, pas la peine de l'emballer", c'est un acteur que j'aime bien et je vois donc qu'il a bon goût). Passer chez Pierre Hermé, c'est un peu se dire que l'on va faire de la veille technologique pour notre douce Miss Macaron, un prétexte pour comparer (honnêtement, je dirais : match nul ! comment ça, je me la pète ?). De quoi dire "oui, encore quelques uns" à la charmante vendeuse pousse-au-crime qui vous suggère de finir de remplir votre boîte, pour éviter aux macarons de se briser en se baladant dans une boîte trop vide. C'est bien de savoir que les macarons Hermé ne prennent pas tous la voiture avec chauffeur, mais bien plus souvent le métro. Ca c'est du marketing.
Quitte à être en excursion sur l'autre rive, autant faire le total food-shopping, je me suis donc dirigée au Marché Mabillon à la recherche de la boutique de quenelles Giraudet dont j'avais entendu parler.
Déjà, quand on voit la boîte, on a l'impression d'être passé chez Chanel, mais en beaucoup moins cher, et qui se mange (sorry Karl).
Le paradis de la quenelle, et surtout : le paradis de la céréale. Si si si. Volaille, brochet : on connaît. Mais des quenelles de sarrazin, de seigle, de châtaigne, de maïs (et j'en oublie), moulées à la cuillère ?
En plus, il y a même des quenelles bios, j'ai pensé à vous les filles.
Celles au seigle (au fond du plan) ont remporté tous nos suffrages, rendant hommage au goût riche et terreux de cette céréale -j'adore le goût du seigle, une obsession en ce moment (et je ne suis pas la seule en ce moment).
La châtaigne (au premier plan) était plus pouf pouf, mais pas du tout sucrée.
Quant à la très chic et snob quenelle à l'encre de seiche, elle était absolument délicate, à condition de la faire cuire isolément sous peine de teinter votre sauce. Une grande dame, assurément. Une excellente base de canapé salé, pensais-je en pensant à Jacqueline qui a été torturée à coup de risotto à l'encre de seiche (mal manoeuvré, c'est en effet une catastrophe)
Après avoir tenté la cuisson à la casserole, la classique béchamel gratinée au four, la rigolote mini-morceaux gonflés à la poêle, j'ai tenté ce coup-ci la cuisson au cuit-vapeur électrique : pas mal du tout, mais le dégonflage est ultra-rapide, plus qu'au four je trouve.Seule une bonne croûte de gruyère râpé et un passage au four permet de maintenir solidement le couvercle des mini-zeppelins jusqu'à la table, application directe du principe dit "du chapeau" des soufflés.
Que les pralines ont du bol d'habiter dans le pays des quenelles !!!!
Boutique Giraudet
16 rue Mabillon
75006 Paris
Métro Mabillon / Odéon
Compter de 1.30 à 2.5 la quenelle
http://www.giraudet.fr
Toutes leurs adresses en suivant ce lien...